Le blog de la chienne de Maîtresse

Pour les femelles engrossées,on l'a suspendait nue, les jambes écartées au dessus d'un braséro et on laissait griller lentement l'entre jambes, le supplice était très long, elle offrait un bon spectacle en gigotant, de temps en temps on caressait les mamelles avec une torche enflammée, on fouettait, ça sentait la truie grillée dans toute la salle pour le plaisir des spectateurs, on terminait souvent par un pal hérissé enfoncé lentement dans le rectum

Encore maintenant, dans certains pays, la femelle ne sert qu'à la reproduction et interdire de jouir pendant les rapports, en cas de désobéissance elle est bastonnée au cable sur le sexe épilé, exposé largement écartelée devant la famille à titre d'exemple, elle restera exposée le sexe tuméfié, boursouflé pendant plusieurs heures aux commentaires salaces des males, pour les récidivistes on procédera à l'ablation du clitoris à la pince en prenant soin de faire durer le déchirement en tirant dessus et masturbant la base, la femelle tend le ventre, hurle s'arcqueboute de douleur avant de cautériser au fer rouge

Il est important de savoir qu'on sait encore traiter les femelles en viande à vider les males et à véler en leur interdisant tout plaisir, en simple bétail à saillies ,des réceptables à foutre trois trous, des porques à élever, engrosser et dresser en soues

La nouvelle mode dans certains pays, les dignitaires se procurent des femmes blanches pour leurs festivités. La fille est pendue par le cou, mains attachées au dos sur un bloc de glace au milieu de la table pendant le repas jusqu'à temps que la glace fonde et qu'elle gigote au bout de sa corde, elle urine bien souvent lors du trépas, le spectacle dure toute la soirée, on la décrochera que le lendemain

Encore maintenant des femelles adultères condamnées sont soumises aux sexes de chevaux par le sexe et l'anus jusqu'à la fin